Quand tu portes sur tes épaules
Le fardeau
Le plus beau
Quand ta main tremble
Parce qu’il il te ressemble
Quand tu sais que c’est lui
Qui pleure au cœur de la nuit
Quand tu te lèves
Brûlant de fièvre
Que ta main tremble
De savoir qu’il te ressemble
Tu sais que dans ses veines
Le sang est le même
Le sang est le même quand il coule
C’est le long tapis de ta vie qu’on déroule
Quand tu sais que c’est lui
Qui pleure au cœur de la nuit
Quand il tousse
Dans son lit de mousse
Quand il t’appelle
Que, toujours tu te rappelles
Souviens toi que c’était lui
Fragile au cœur de la nuit
Et quand un jour
Du haut d’une tour
Tu le verras partir
Comme tout le monde sans rien dire
mercredi 15 juillet 2009
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