Et l’aube amène la pluie, la brume
Dans l’eau du port brille la lune
Un sac posé sur une dune
Et dans les tasses, le café fume
Oublie les folies, les rancunes
La mer est remplie d’algues brunes
Avec le temps, les gestes meurent
Et rien ne reste, rien ne demeure
La femme, la fille, le garçon pleurent
Il va s’en aller tout à l’heure
Y aura toujours deux voiles blanches sur la mer
Quelque part n’importe où à l’autre bout de la terre
Y aura toujours deux voiles blanches voiles rondes
Et l’aube amène la pluie, la brume
Les hommes ont les cheveux qui fument
Comme des chevaux couverts d’écume
La mer est remplie d’algues brunes
Ouvre les fenêtres une à une
Au comptoir du café des dunes
Avec le temps les gestes meurent
Y a plus de soleil, y a plus de couleurs
La femme, la fille, le garçon pleurent
Il va s’en aller tout à l’heure
Y aura toujours deux voiles blanches sur la mer
Quelque part à l’horizon à l’autre bout de la terre
Y aura toujours deux voiles blanches voiles rondes
Quelque part à l’horizon à l’autre bout du monde
jeudi 16 juillet 2009
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