Veux-tu que je te couvre les épaules
Veux-tu que je t’allonge ou veux-tu que je t’aide
Veux-tu que nous fassions quelques pas au soleil
Ou bien à l’ombre, pour moi tout est pareil
Dans la demeure qui fut la notre
J’allume ou bien j’éteins, veux-tu l’obscurité
Que je me tienne encore à tes côtés
Ou bien fermer les yeux, veux-tu que je me taise
N’entendre que Chopin, Mazurka Polonaise
Dans la demeure qui fut la notre
Dix mille saisons et puis
Dix mille saisons et puis
Veux-tu que je t’entrouvre la fenêtre
Que tu sentes l’odeur que le printemps fait naître
Dans la demeure qui fut la notre
Et j’ai posé mes yeux dans un coin du plafond
Et j’ai touché sa joue froide comme une feuille
Et le jour était là comme un enfant recueille
Un coupe d’oisillons
Un coupe d’oisillons
Un coupe d’oisillons
jeudi 16 juillet 2009
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